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 Berold

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Berold
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MessageSujet: Berold   Berold Icon_minitimeJeu 15 Mai - 14:07

Bon et bien comme il ne faut pas être timide allons y :

Je fais du JDR depuis 1984. Inscrit en club le 1° février 1987 j’ai passé mes soirées et mes week-ends à jouer (vivre) sur le Monde de Greyhawk. Le Furyondy, Iuz, Nyrond, La vallée de la Velverdyva, Highfolk, les Plaines du Paynims, les Nomades du Loup, le Perennland, l’Amédio Jungle, etc…. Que du bonheur.

Le JDR menant au GN j’ai franchi très vite le pas avec Alkémia et Cotte de Mailles et l'Epée des Brumes. Le JDR mène aussi à la résolution de combats de masse des armées des différentes nations qui peuplent le monde sur lequel je jouais. J’ai donc pris plaisir à organiser des parties de Combats de Figurines. Aujourd’hui je suis Wargamer avant tout. Gnistiquement je trouve mon intérêt à BCB en y pratiquant un "jeu" au 1 pour 1. BCB est un Wargame-GN spécialisé dans le combat de masse. Il y avait 700 participants en 2007. Ici pas de chichi : tu sais te battre ou non. Pas de sorts ou de pseudo-magie. J’y ais toujours joué les généraux (personne ne voulant de la place) car j’aime à monter des plans tactiques et ainsi donc :

- en 2004 notre Camp a remporté la victoire aux points,
- en 2005 nous avons gagné la victoire aux points et la bataille finale,
- en 2006 nous avons gagné la victoire aux points et la bataille finale,
- et en 2007 nous avons remporté la bataille finale.

2007 fut ma plus belle victoire tactique. Côté figurines je joue avec DBA : De Billis Antiquitatis est ma règle de jeu de combat de figurines préférée, bien que j’ai commencé à jouer avec « Charges Antiques et Médiévales ». J'y joue aussi bien en compétitions que pour m'amuser avec mon fils : deux choses complètement différentes. Depuis 10 ans je me suis mis à participer aux compétitions de combats de figurines historiques. J’y ai trouvé de nouvelles connaissances, des amis, et une envie de jouer qui comble ma passion pour l’histoire. Après avoir joué à Charges, j’ai découvert DBA lors d’une convention, et j’ai enchaîné plusieurs tournois ces dernières années.

Si j’ai apprécié les armées qui allient la cavalerie et les piétons dans les proportions 1/3 et 2/3, je préfère nettement, maintenant, les armées 3/3. 1/3 de cavalerie, 1/3 d’infanterie lourde, 1/3 d’infanterie légère ou d’auxiliaires. Le genre d’armée où les chevaliers peuvent «démontés» en blades ou en spears. Une armée de ce type peut faire face à toutes les situations. L’armée idéale n’existe pas. Cependant les armées se rapprochant le plus de l’excellence sont pour moi : les Anglo-normands et les allemands médiévaux (a). Ces armées présentent une ossature de chevaliers qui démontent soutenus par des piques ou des lances, et des troupes légères pour les terrains difficiles. C’est un vrai régal à jouer. Dans une moindre mesure les listes des anglais, français, espagnols, et portugais médiévaux présentent des similitudes, mais manquent de troupes de soutient en terrains difficiles.
Ce que j’aime à DBA c’est que l’on peut multiplier les armées. Financièrement, là où à DBM un joueur aura une armée, à DBA il en aura de 4 à 6. Bien sur le seul fait d’avoir un tas
d’armées différentes n’est pas une fin en soit. Cela permet simplement de varier les époques et donc le plaisir de jouer. A DBA l’intérêt est d’avoir une troupe et son adversaire type.
(Ex : romains versus carthaginois, russes contre mongols).
DBA est un jeu rapide. Rapide, mais pas simple. Les listes d’armées proposent des variantes dont il faut tenir compte face à tel où tel adversaire. Une armée est composée de 12 plaquettes. Le simple fait de choisir une variante peut se révéler payant, ou bien catastrophique pour obtenir la victoire. La victoire s’obtenant à 4 plaquettes détruites, le simple fait d’avoir une perte peut avoir une portée significative sur la suite de la bataille. Il faut savoir prendre son temps, car une tactique peut trouver toute sa cohérence dans les derniers tours du jeu. Il faut avoir les nerfs solides. Certains joueurs préfèrent attaquer sans tergiverser. Ils pensent ainsi éviter les déboires des retournements de situations liées aux savantes manœuvres de leurs adversaires. C’est une tactique où l’attaque doit être livrée sans retenue, en fonçant droit au contact. Cette tactique est payante avec des armées supportant les chocs face aux piques, lames et lances. Cependant, elle trouve très vite sa limite avec des batailles en terrains fermés. Depuis que les armées composées de barbares ne sont plus pénalisées en terrain difficile, il peut être tentant de choisir une troupe de germains antiques pour déborder de partout son adversaire et l’attaquer à outrance. A ce niveau là, les confrontations sont de courte durée et amènent sans tarder la victoire, ou la défaite.
Dans la version de DBA 2 les listes d’armées ont été multipliées. Certaines références n’ont qu’un intérêt limité comme dans DBA 1. Où est le plaisir d’aligner une troupe composée de 6 LH et de 6 Ps. Ce type de listes correspond selon moi à des armées d’accompagnement, en tant qu’allier à votre armée principale, lors d’une big-battle, ce qu’elles sont d’ailleurs historiquement. (Ex : Ibères, Numides, Norse-Irish, etc…). Le fait que ces troupes aient existé ne justifie pas un intérêt allant au-delà d’un emploi d’armées auxiliaires pour un Big-DBA.
Il ne faut pas non plus tomber dans l’excès, de ne vouloir que jouer des armées dites costaudes, composées essentiellement de blades ou de knights.
Des armées trop spécifiques sont facilement « cassables ». Un grand classique des confrontations oppose les chevaliers aux archers. Lors d’un tir à distance, les archers ont un facteur de 11% de tuer des chevaliers, et 47% de les faire reculer. Lors d’une attaque en corps à corps des chevaliers sur les archers ces derniers ont 58% de quick-kill sur les premiers.
Donc jouer une armée de chevaliers est suicidaire face à des archers, mais jouer des archers face à des blades ce n’est pas mieux. Et jouer des blades, sans soutient, face à de la cavalerie c’est encore pire. D’où l’intérêt des armées 3/3.
Si vous voulez vous offrir une armée, ne cherchez pas à imite, ou à faire comme tel ou un tel. Faites-vous plaisir. Tout tient dans la façon d’appréhender les choses. Si je possède des armées romaines c’est qu’historiquement j’aime ce qu’a représenté Rome, sa république et ses empires. Bien que je possède une armée gauloise, je trouve que les celtes étaient divisés, décadents, cannibales, et d’une culture guerrière douteuse tant sur le plan offensif que défensif. Bref, je ne joue les gaulois que pour servir de contre partie aux légions romaines. Comme je vous l’ai dit plus haut, faites vous plaisir, si vous avez un coup de cœur n’hésitez pas. Aa !!! Les égyptiennes premières dynasties. Pour ma part, je tiens à dire tout le plaisir que j’ai eu à jouer avec des Romains-Polybe. Bien que se soit une armée 1/3 et 2/3, tous les tournois où je les ai joué j’ai gagné ou je me suis retrouvé aux places d’honneur. Avec eux j’ai remporté le premier tournoi DBA de Survilliers en 2002, et j’ai fini deuxième du premier championnat « officiel » DBA, au sein de la FFJH, joué à Angoulême en 2003, et remporté par Gérôme-Antoine Serre de Jonquière.
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Berold
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MessageSujet: Berold II   Berold Icon_minitimeJeu 15 Mai - 14:07

Suite.

Toujours en 2003, J’ai gagné le tournoi des IPO, et ai fini troisième de la convention de Survilliers. J’ai pris la deuxième place lors de l’Open de Clichy (Triomphe de l’Ile de France).


En février 2004 se tint à Cannes le Festival International du Jeu. Echecs, jeux de cartes, jeux vidéo, jeux de rôle, GNs, stand Playmobil, trains électriques, Héroclix, etc…
Tout était réuni pour effectivement produire une vraie fête du jeu. Les jeux de combats de figurines se trouvant à l’entée de la manifestation furent en première ligne pour attire à eux une foule de visiteurs jeunes ou vieux, de touristes et de passionnés curieux de nous voir batailler en poussant du soldat de plomb. Jouer au Palais des Festivals, comme jouer au Château de Vincennes, fut vraiment très agréable, surtout quant on est aussi bien accueilli comme ce fut le cas. Le tournoi DBA comptant pour le Championnat d’Europe se déroula sous l’autorité de Denis Roussel.
Pour l’évènement une impressionnante délégation Italienne avait fait le déplacement. En Italie DBA est la première règle de combat de figurines jouée. Elle permet à nos amis transalpins d’avoir sur l’ensemble de l’année un championnat soutenu.
Le tournoi se déroula sur deux jours. Une première poule qualificative fut axée sur la période antique et une seconde sur le moyen-âge. Comme il fallait si attendre un italien se fit un devoir de remporter la coupe. Il s’agit de Cissoto Maurizio, le champion d’Italie pour les deux dernières années consécutives. Venant de Pavie il était accompagné par Iogha Ddionigi qui lui a fini cinquième. Le quatrième se nomme Ponti Stefano, et le troisième fut l’un des six français ayant participés : Philippe Renaudi.
Pour ma part j’ai fini douzième du championnat, mais j’ai eu la satisfaction de battre Filippo Morisi qui avait remporté le Championnat d’Europe 2003 se déroulant au Portugal. Pour se faire j’ai joué avec la répartition des terrains difficiles. Je l’ai coincé sur un des côtés du champ de bataille et l’ai éliminé au coup par coup. Par contre j’ai rencontré deux fois Cissoto qui ne m’a pas laissé une chance de le contrer en terrain arable avec mes Romains-Milieu-Empire et mes Bourguignons .En tous cas je tiens à signaler que le tournoi, comme d’habitude, s’est déroulé dans un très bon état d’esprit et des conditions matérielles idéales.

Le deuxième Championnat de France DBA pour l’année 2004 s’est déroulé à Angoulême au mois de mai de l’année 2004. C’est dans la même salle que l’année précédente que la sympathique équipe de l’AAJH a accueilli les différents participants. Les terrains préétablis représentaient des champs de batailles historiques comme : Issos, Chalons, Zama, etc… En matière de listes d’armées le championnat était open. Les joueurs furent départagés suite à leurs résultats par une ronde suisse gérée par l’arbitre : le très bon Julien Sergent. Pour ma part je jouais une armée médiévale allemande de facture 3/3, soutenue par une plaquette d’arbalétriers.
Mon premier match fut contre Jean-Paul, un vieux routier et l’inventeur de la « reconnaissance lourde ». Il alignait une armée classique de Teutoniques. Sur un terrain dégagé, après un départ en ligne on ne peut plus parallèle de nos deux armées, J-P effectua un pivot de son aile gauche pour se rabattre sur mon centre. Il m’offrit ainsi l’opportunité de le prendre de flanc. Je ne m’en suis pas gêné créant ainsi toute une série de débordements. (4/0). Mon second match fut contre le jeune Quentin Raffoux. Son armée romaine composée de blades ne fit pas un pli face à mes chevaliers en terrain très dégagé. (5/1). Mon troisième adversaire fut Denis Roussel. Sa troupe d’ostrogoths fit peser sur mes spears toute une série de quick-kills.
C’est par un terrain difficile sur mon aile droite que Denis tenta de me déborder avec ses barbares. Ma ligne de lanciers ne fléchit pas. J’arrivais à faire la différence dans la plaine avec mes chevaliers et mes tireurs. (5/2).
Je rencontrais ensuite Laurent Bernard et ses bourguignons : une armée que je connais bien pour l’avoir joué à Cannes. Notre champ de bataille traversé par une rivière solda notre match par un nul. Pour la phase qualificative j’affrontais Guillaume de l’AAJH. Son armée vikings composée de… blades, comme celle des romains, elle fut transpercée par mes montés. (4/1). En demi-finale je me retrouvais une fois encore face à l’excellent Denis qui lui aussi s’était qualifié.
Une fois encore mes tireurs firent la différence. (4/1). Je me retrouvais en finale contre Laurent Bernard. Obtenant un terrain très favorable à mon déploiement je n’ai pas hésité à me jeter sur ses archers et son artillerie. Victoire finale (4/0). La troisième place revint à Denis qui battit Marc Dodinot.
Le 10° Triomphe de l’Ile de France a eu lieu comme tous les ans à Clichy-la-Garenne. La célèbre Barrière organisait son tournoi annuel et cette année 2004 de très bons joueurs tels : Thierry Hérault, Denis Roussel, Erick Duponchel, Jacques Goult-Houix, Patrick Rozier, ou encore Christophe Constant, pour ne citer que les plus connus, s’y étaient donnés rendez-vous. Parmi l’élite manquait Denis Cayrel. Comme pour le Championnat de France je concourais avec la liste 13, du livre 4, comprenant la variante (a) et l’option spears. Le tournoi étant open je me fis un plaisir de rejouer cette armée qui me convient parfaitement.
Au premier tour je rencontrais sur un terrain ouvert une armée « peuple de la mer » avec ses blades. Mes chevaliers la firent plier sans effort (5/1).
Mon second adversaire m’opposa des hittites avec des chariots. Cette armée trop diverse ne résista pas à l’homogénéité de la mienne (4/0). Je me retrouvais ensuite face aux « anglaises guerres de 100 ans » de Thierry. Une armée d’archerie que mes blades, bien qu’en difficulté, réduisirent (4/2). Vinrent ensuite des « chinois du sud ». Une armée passe-partout aux troupes trop dissemblables (4/0). Mes plus redoutables adversaires furent des « égyptiens new-kingdom » joués par Erick. La partie fut acharnée et représente ma seule défaite du tournoi (3/4). Je finis par jouer contre des « français féodaux » que je vainquis (4/0). Avec un total de 80 points je remportais la compétition, reléguant le deuxième à 66 points et le troisième à 55 points. Une belle victoire, et un beau tournoi orchestré par Denis Roussel.
Le tournoi Des Lames Trempées de Ballainvilliers eut lieu fin 2004. Organisé par l’inoxydable Denis Roussel il ne prenait en compte que des armées alignant obligatoirement un minimum de 8 plaquettes de troupes à pieds. Ma principales difficulté fut de me trouver une armée 3/3 dans cette catégorie. Seuls les « anglo-normands »s’en rapprochèrent le plus. Durant la compétition je rencontrais des vikings joués par Jean-Paul. Cette armée est décidément trop composée de blades : victoire (4/1). Erick Duponchel alignait des romains patrices. Une erreur de ma part concernant l’emploi du war-wagon me coûta la partie perdue (2/5). Contre Hervé Collin qui jouait des « anglais », je me suis servit du terrain difficile comme d’un appui, victoire (4/1). Christophe Constant avait sorti ses inusables « romains de l’ouest ». Comme à l’habitude notre match fut serré : (3/4). Pour la première fois Thierry Hérault me battit avec une « armée scandinave » sur un terrain somme toute très ouvert (2/4). Le reste des joueurs alignait tout le panel habituel des armées de piétaille. Ma plus belle victoire fut celle remportée sur Claude, où je jouais contre des « hollandais » que je battis (7/1). Une armée trop axée sur les piques. Au court de la journée je me rendis compte que de jouer un chariot-de-guerre est plus difficile qu’il n’y parait, et je finis 3° derrière Thierry et Erick, qui gagna le tournoi.

Le troisième Championnat de France de DBA a eut lieu, en 2005, encore une fois à Angoulême. Contactant le maximum de mes connaissances ludiques, sur l’ensemble de la France, c’est avec un nombre record de participants qu’a eut lieu la compétition : 20. Les joueurs sont venus en majorité du « sud ouest » : Bordeaux, Toulouse, Saintes et Angoulême. Cela m’a donné l’occasion de me frotter à de très bons wargamers comme Laurent Bernard, Marc Dodinot, Gérôme-Antoine Serre et de voir émerger de nouveaux talents que sont Eric Fessard ou Bruno Savy. L’arbitrage était comme les années précédentes entre les mains de Julien Sergent, et d’un autre membre de l’AAJH, Lam. C’est toujours par le système de la ronde suisse que les joueurs furent départagés tout au long des parties. Pour ce tournoi je jouais une « armée indiens tamils ». Une armée 3/3 disposant de trois éléphants, d’une grosse structure de blades, et d’un soutient de bows-psilois. Nous avons joué sur des terrains préparés à l’avance (par des gens ne jouant pas à DBA) ce qui a donné lieu à des champs de batailles très bouchés et parsemés de collines, forêts, rivières, routes fleuries, falaises et autres terrains difficiles. Les armées se sont donc retrouvées divisées et les combats hachés. Face aux « indiens classiques » de Gérôme-Antoine je ne me risquais pas dans une confrontation directe. Notre rencontre se solda par un nul, le terrain étant traversé par un cour d’eau, aucun de nous ne voulu si risquer. Jouant avec le terrain difficile, j’écrasais des « anciens bretons », et je ne me suis pas privé d’en faire de même avec des « romains patrices ». L’armée « beja » de Bruno, trop axée sur la cavalerie, ne me posa pas de problème et je me suis donc retrouvé en demi-finale. Marc jouait la même liste d’armée que moi. Sur un terrain bordé par un littoral nous nous affrontâmes en un choc frontal. Sur un jet de dé Marc prit l’avantage et se retrouva en finale. Cela fait parti du jeu. Pas de finale pour moi cette année. Donc pour la place d’honneur je me retrouvais face à Eric et ses « ptolémaïques ». A force de mouvements je me retrouvais en position idéale pour le contrer, et prenant appui sur une forêt je lui fis face. Son impatience à m’engager lui valu de perdre la moitié de son armée. De son côté Bruno et ses « beja » remportèrent une victoire sans équivoque sur Marc. En parallèle de ce tournoi se tenait au même endroit un tournoi junior dit des « petits loups » organisé par le club de Saintes.
Ce qui aurait pu être une foire aux dés se révéla être une compétition relevée où 18 participants, dont mon fils de six ans, se livrèrent à d’âpres combats. Il a remporté 3 victoires et a subi 5 défaites. L’important : il s’est amusé.

Wargame à Clichy:

Le 10° Triomphe de l’Ile de France a eu lieu en 2004 comme tous les ans à Clichy-la–Garenne. La célèbre Barrière organisait son tournoi annuel mettant en compétition les joueurs (500) pour les titres de : WRG, DBM, DBA, DBN, WAB, DBR, VIVE L’EMPEREUR, etc.…
Cette année encore pour DBA le tournoi comptait de très bons joueurs tels : Thierry Hérault, Denis Roussel, Erick Duponchel, Jacques Goult-Houix, Patrick Rozier, ou encore Christophe Constant pour ne citer que les plus connus. Parmi l’élite ne manquait que Denis Cayrel. Le tournoi a eu lieu sur deux jours. Comme pour la coupe de France je concourais avec la liste (13) du livre (4), comprenant la variante (a) et l’option (spear) : les Allemands du Haut Moyen-Âge. Le tournoi étant open je me fis un plaisir de rejouer avec cette armée qui me convient parfaitement.
Au premier tour je rencontrais sur terrain ouvert une armée « peuple de la mer » avec ses lames. Elle ne fit pas un pli face à mes chevaliers. Victoire 5-1. Mon second adversaire m’opposa des Hittites avec des chariots. Victoire sans problème 4-0. J’affrontais ensuite une armée afghane de cavalerie. Comme pour mon combat précèdent j’utilisais au mieux mes tireurs. Victoire 4-0. Je me retrouvais ensuite face à des « anglais guerre de 100 ans », une armée d’archerie qui ne résista pas longtemps à mes blades. 4-2. Vinrent ensuite des « chinois du sud », une armée passe-partout aux troupes trop dissemblables : 4-0. Mes plus redoutables adversaires furent des « égyptiens new-kingdom ». La partie fut acharnée et représente ma seule défaite du tournoi : 3-4. Je finis par jouer contre des « français féodaux » où je vainquis 4-0.
Avec un total de 80 points je remportais le tournoi reléguant le deuxième à 66 points, et le troisième à 54 points. Une belle victoire sans appel.

De là BCB a vu le jour et j’ai participé à tous ses combats. Avec mes compagnons d’état-major nous avons eu cette année envi de nous replonger dans un GN dit “classique“ et avons participé au GN d’Osmodie où nous avons fait de nouvelles connaissances. De fils en aiguilles l'envie nous reprend de refaire de rôle-playing....

Bon et bien voilà, vous savez tout. J’ai aussi 80 scénarii de JDR à mon actif et un scénario de GN pour 650 personnes. 22 ans de service ludique.
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